Rencontre homme La chapelle en vercors

laurent 46 ans je recherche une relation sèrieuse et plus si affinité au plaisir de vous lire

55 rue du midi

personne sympa et respectueuse,j'aime les sorties entre amis les ballades la moto randonnée etc..

la solitude ne doit pas être permanente, j'ai envie de profiter d'une rencontre pour le plaisir de communiquer et de profiter des ballades dans la nature.

C'est un peu l'effet catalogue et trop de choix tue le choix! C'est un reflet d'une société où le zapping est permanent et on survole le sujet, on se contente du paraître..... Courtois, respectueux, je ne choisis pas. Je fonctionne au ressenti, au feeling. Plaire n'a jamais été l'absolu, donner de l'importance aux gens !!! Vivre aujourd'hui. Demain il sera trop tard !!!

Bonjour, Je commence une nouvelle partie de ma vie, positif,heureux de vivre,sportif mais bon vivant. Je recherche une femme joyeuse ,sportive (un peu) , qui aime la vie.

à discuter

Bonjour Mesdames...Je souhaite rencontrer une femme de ma tranche d'âge (50 à 60 ans), non-fumeur , afin de partager les différents moments de l'existence.....une personne de Proximité , simple , spontanée , Agréable , Aimante avec laquelle je Pourrai partager le quotidien et les agréables moments de partage qui Jalonnent notre chemin dans la convivialité , le Respect , la Simplicité...

Je suis à la recherche d'une partenaire pour rencontres sérieuses,ou pour amitiés pour aller au bal, restaurant, dance, randonné, etc. Et dans le respect de l'autre

"Je l'aime tant, le temps qui reste... Je veux rire, courir, pleurer, parler, Et voir, et croire Et boire, danser, Crier, manger, nager, bondir, désobéir J'ai pas fini, j'ai pas fini Voler, chanter, parti, repartir Souffrir, aimer Je l'aime tant le temps qui reste." Serge Reggiani, Le temps qui reste Parolier : Jean-Loup Dabadie

sociale et sportif

La richesse de la rencontre, l’envie de partager, la découverte, l’échange de point de vue, l’ouverture et la tolérance. La connexion à la nature, la méditation, la découverte de l’incroyable « réalité »